Le printemps est souvent une période de l’année où plusieurs changements sont effectués. Lisez ce qui a changé pour moi et pour ce blogue.
Dernièrement, j’ai abandonné mon emploi dans une société de services-conseils pour travailler comme travailleur autonome en sécurité de l’information. Je ne croyais pas revenir à ce statut professionnel, mais une occasion s’est présentée et j’en ai profité.
Comme si rien n’était, cette occasion m’a apporté à faire plusieurs changements dans mon travail. Je ne les nommerais pas tous mais j’aimerais insister sur un d’eux: l’exploitation de mon blogue de sécurité.
Retour sur un de mes billets
En début d’année, j’avais publié un billet intitulé « En 2016, est-ce bon de produire un blogue de sécurité?« . J’y expliquais les nouvelles modalités que j’allais effectuer dans le blogue concernant la rédaction de contenus. Mais, je n’avais rien mentionné concernant la limitation à l’égard des sujets choisis…
Écrire dans un blogue quand on travaille pour un employeur est différent de lorsqu’on est son propre employeur. On est plus soucieux des mots et du message livré quand on travaille pour un autre. Je ne dis pas qu’en étant maintenant pigiste que mes billets seront différents. C’est juste que j’aurai maintenant plus de liberté dans mes sujets à la suite à mon récent changement professionnel.
Parlant de changements professionnels
Parlant de changements, j’aimerais mentionner que j’ai aimé mon emploi au sein de la firme de services-conseils de Québec (Canada) mais d’origine japonaise. Peu de personnes (dans le marché québécois) ne connaissent les efforts exceptionnels développés par le personnel à l’interne pour rendre cette entreprise rentable et d’en faire un lieu de travail agréable en débit des obligations à rencontrer. Merci à tous pour ces deux années agréables!
NOTE: je ne peux nommer le nom de cette société dans ce blogue selon les termes d’une entente.
Au final
C’est donc un nouveau départ pour ce blogue. Vous verrez les différences dans les prochains billets au cours des prochaines semaines.
Photo: Pixabay
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